Besoin de précisions ?

C'est effectivement une définition qui peut varier d'une personne à une autre.

Dans les grandes lignes cela se définit comme :  « 𝐽𝑒𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒́𝑚𝑎𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑙𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑’𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ via un produit ou un service 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́ 𝑒́𝑚𝑒𝑟𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑢𝑒𝑟 ».

Dans le million d'entreprises créé annuellement depuis 5 ans, on peut raisonnablement estimer que 0,5% à 1% d'entre elles sont des startups. Mais le mieux est de nous présenter votre projet pour en décider ensemble !

Chez iNGENS Ventures, nous sommes profondément convaincus que le futur de l'innovation réside dans sa capacité à être durable, responsable et à générer un impact positif sur notre planète et la société. C'est pourquoi, notre focus se porte résolument sur les startups qui placent l'impact au cœur de leur mission.

Une condition pour qu'une innovation, produit ou service, soit retenue : elle doit avoir un impact positif sur l’un des 17 Objectifs de Développement Durable [ODD] de l’ONU.

Ensuite bien évidemment, il faut que la ou les expertises demandées soient disponibles dans le fonds. S'ajoutent à cela des conditions telles que l'année de création, la structure juridique (SAS ou SASU) et bien sûr le projet en lui même : son ou ses marchés, ses différenciateurs, sa valeur ajoutée et pour finir l'équipe en place, sa vision, son expérience et sa "niaque" !

Nous avons 2 axes de lecture : 

  1. Un axe produit-service qui doit avoir un impact positif sur l’un des 17 Objectifs de Développement Durable [ODD] de l’ONU, comme par exemple : pour accélérer l’émergence des énergies propres et à un coût abordable, développer une éducation de qualité, promouvoir une économie plus verte et plus équitable, lutter contre le changement climatique et bien d’autres défis.
  2. Notre second axe consiste à analyser l'organisation en elle-même sur les grands principes de la RSE et définir pour cette start-up son score de création responsable. Même s'il y a des milliers de choses à faire quand on se lance, il ne faut pas que, année après année, accumuler une dette extra-financière trop élevée. Il faut donc ancrer les fondamentaux de la RSE dans son business model.

Notre positionnement se situe dans la phase amont de la vie d'une start-up, entre quelques mois après sa création et au maximum 24 mois, là où il y a beaucoup de choses à dérisquer !

La genèse du fonds est que l'apport de ressources en compétences, venant de nos experts-investiss'heures® doit permettre de construire des fondations solides, tout en créant un réel effet de levier sur le capital compétences, pour s'assurer des futures performances du produit-service en cours de développement. La réussite des années 3 et 4 vient des investissements en année 1 !

La maîtrise de compétences dans un domaine particulier peut être quantifiée par le nombre d’heures consacrées à sa pratique. Ainsi, atteindre le cap des 10 000 heures peut vous assurer d’être qualifié d’expert dans votre domaine (selon Karl Anders Ericsson, psychologue suédois).

C'est l’un des principaux critères de sélection de nos experts-investiss’heures®, avec à minima 20 ans d’expérience professionnelle et dans au moins 2 champs d’expertise ou secteurs ! Si c'est votre cas, notre volonté délibérée est d’offrir un champ du possible le plus large possible : multi-sciences, multi-secteurs économiques, multi-technologies.

Vous êtes donc les bienvenus !

Il faut prendre le mot "science" de manière large. Dans un sens premier, il faut y voir la somme de connaissances qu'un individu possède ou peut acquérir par l'étude, la réflexion ou bien l'expérience.

Cela couvre un champ de discipline très large comme par exemple : les mathématiques, la chimie, la physique, la biologie, la mécanique, l'optique, la pharmacie, l'économie, la sociologie etc.

Les connexions se font via notre ''Espace membre'' du site web. Une messagerie instantanée permet de démarrer les discussions entre experts & start-up. En sachant que chacun est libre de ses recherches, nous demandons une attitude professionnelle en ne laissant pas un message sans réponse quelle qu'elle soit.  L'association effective ne se fera que sur une collaboration mutuellement choisie par les deux parties !

Être présent(e) sur la plateforme ne veut pas forcément dire s'associer. Il faut donc que ça "matche" entre les futurs associé(e)s. C'est pourquoi nous parlons de comité de présélection car la sélection finale se fait par les membres eux-mêmes.

En préambule, ce n’est pas une science exacte ! Pour les startups, on se base sur des méthodes (comparabilité, discounted cash flow, table de capitalisation prévisionnelle) et notre retour d’expérience. Le business plan devra décrire le chemin pour créer de la valeur. Pour les experts, on s'appuie sur la base des taux horaires de la profession de conseils et la prise en compte de l’effet de levier amené par cette expertise.

La durée de présence est fixée globalement lors de la signature du pacte d'associés et est attachée à un événement décidé entre les parties. D'une manière générale, l'évènement est la levée de fonds dilutive en seed (amorçage). Il est assez complexe de prévoir une durée mais raisonnablement on peut imaginer une valeur médiane entre l'entrée de l'expert et sa sortie de 2,5 ans intimement liée à la progression de la start-up techniquement, commercialement etc. jusqu'à sa capacité de levée des fonds.

C'est une collaboration sur du moyen terme. Le macro déroulement de la collaboration est établi lors de la phase amont de calage avant association effective entre l’expert-investiss'heures® et le créateur-innov'action : le timing des livrables attendus par rapport au planning du projet, la participation régulière aux comités scientifiques sur toute la durée de la collaboration etc.

Au niveau du calendrier, il faudra que les deux parties puissent aménager leur propre agenda, pour convenir à tout le monde dans le cadre d’une véritable collaboration entre associé(e)s, dans une aventure commune pour un succès commun. La collaboration se fera en partie en distanciel et en présentiel dans les locaux de la start-up, sur la base de l'enveloppe de frais de déplacement vu aussi durant la phase de calage amont.

Nous limitons la demande à 2 blocs d'expertises ceci afin d'une part, de ne pas trop complexifier la date de capitalisation et d'autre part de ne pas céder trop de capital (i.e. soit au maximum 10%). En revanche, vous pouvez demander des expertises sur plusieurs sciences ! C'est justement ce qui fait la richesse de notre banque d'heures car le développement et la mise sur le marché d'un produit-service nécessite assez souvent des expertises variées.

Tout comme une levée de fonds en numéraire, cet apport de ressources en compétences doit avoir un effet de levier pour la start-up, en faisant passer un point critique via les heures d’expertise initiale, sur l’analyse des promesses de performances du produit-service, puis via le comité scientifique régulier sur le long terme etc. Ce point critique à passer sera décrit dans le dossier de candidature de la start-up et analysé dans le processus de sélection.

Quand on parle de 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐨𝐮 𝐝’𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, on pense automatiquement à des montagnes de billets, non ? Eh bien, pas forcément ! Cela traduit un biais de lecture, où ces mots sont quasi systématiquement associés à de l’apport d’argent, mais non pas obligatoirement ! Il faut revenir aux définitions mêmes des mots :

  • 𝐅𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 : Une action de fournir des fonds (à une entreprise, à un service public).
  • 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬 : Toujours au pluriel dans ce cas, des ressources propres à quelque chose ou appartenant à quelqu’un.
  • 𝐈𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 : Une action visant à renouveler et accroître le capital d’une entreprise ou d’une économie.
  • 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 : Un ensemble de biens ou de ressources valorisées dans une entreprise.

Nous avons des frais d'adhésions pour les expert-investiss'heures® et les créateurs-innov'action puis des fees de services payées par la start-up. Les paiements ne se font que s'il y a une collaboration effective. Nous fonctionnons sans subventions ou budget de fonctionnement venant de l'extérieur. C'est une volonté de mettre en place un nouveau modèle le plus accessible possible dans un esprit lean qui donne confiance à toutes les parties.

Les structures d’accompagnement (couveuse, incubateur, pépinière etc. qui sont + de 2600 en France) qui effectuent un travail formidable, ne possèdent pas toujours les expertises ad-hoc pour critiquer, amender et ainsi faire évoluer la
partie produit-service en cours de développement. Ou alors ces expertises ne sont parfois pas disponibles localement, mais le sont dans une autre région en raison de la typologie du tissu économique en présence. D'un autre côté, les structures d'apport de ressources en numéraires (business angels, ventures capital etc.) peuvent voir passer des dossiers très prometteurs mais avec un doute sur le capital compétences pour le mener à bien. C'est donc bien une offre complémentaire à l'écosystème en place, avec qui tout naturellement, nous menons aussi des campagnes de présentation du fonds iNGENS Ventures pour étudier l'opportunité d'un partenariat.

L’association internationale 𝐼𝑛𝑡𝑒𝑔𝑟𝑎𝑡𝑒𝑑 𝑅𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑛𝑔  identifie 6 capitaux, constituant les fondations du standard de reporting qu’elle promeut :

  1. 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫,
  2. 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐦𝐚𝐧𝐮𝐟𝐚𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞́,
  3. 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥,
  4. 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧,
  5. 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥,
  6. 𝐂𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥.

Avec son positionnement unique, le fonds 𝐢𝐍𝐆𝐄𝐍𝐒 𝐕𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 via l’apport de ressources en compétences, choisit d’agir principalement sur le 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥. Cet enrichissement alimente les 𝐛𝐨𝐮𝐜𝐥𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 sans impacter le 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫, souvent limité, des startups en phase de constitution.

L'extra-financier recouvre toutes les thématiques de performance non économique d'une entreprise. On y trouve dans les reportings du même nom les performances environnementales, sociales, les notions d'éthique des affaires et de bonne gouvernance listées dans la norme ISO 26000 ''Responsabilité sociétale des Entreprises". Pour nos experts-investiss'heures®, les attentes extra-financières sont aussi importantes que les attentes financières voire peuvent prendre le dessus pour certains d'entre eux. C'est dans cet esprit que notre processus de sélection est bâti.

La 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 en France ne se dément pas avec + d'1 millions de créations par an depuis 5 ans . D’un autre côté, l’𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥 (i.e. les levées de fonds) diminue depuis 3 ans. Sans entrer dans de complexe calculs financiers, cela entraîne déjà et va entraîner des problèmes de trésorerie de 𝐬𝐭𝐚𝐫𝐭𝐮𝐩𝐬 créées il y a quelques années. Car même si l’argent seul mis sur un compte en banque ne conçoit pas, ne dessine pas, ne code pas, ne prototype pas, ne fait pas de rendez-vous de vente etc. il est la plupart du temps au début, destiné à accéder à de la ressource en compétences qui est créatrice de valeur. Du coup on fait comment ? C’est en partie pour cette problématique que le 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐢𝐍𝐆𝐄𝐍𝐒 𝐕𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐚 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞́ pour les startups récemment créées. Notre objectif est de proposer une 𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐥𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞 𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐝’𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞́𝐭𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬, sans passer par la case levée de fonds en numéraire. Cet apport permettra d’amener une forte expertise qui contribuera à poser de solides fondations pour le développement du produit-service à impact.

Cette forme de collaboration, innovante et choisie, trace une nouvelle voie d’excellence basée sur des principes forts, retranscrites dans une charte signée par tous nos membres. On y retrouve des valeurs comme : transparence, intégrité, respect des engagements de confidentialité, de professionnalisme, de propriété intellectuelle, engagement à respecter les lois, les conventions et les réglementations en vigueur etc. qui sont pleinement partagés par iNGENS Ventures et qui seront des facteurs essentiels de réussite du dispositif.

De manière générale, quand on s'associe pour lancer une aventure entrepreneuriale se pose toujours la question, délicate et souvent un peu taboue, de la répartition du capital initial. La charge émotionnelle qui entoure ce sujet est due à de multiples facteurs. Cette répartition a un impact à long terme sur l’allocation de la richesse créée. Mais elle touche aussi des éléments profonds de la dynamique d’équipe et des relations entre associé(e)s. Puis faire entrer un nouvel associé quel qu'il soit reprend cette même charge émotionnelle du début qu'il faut traiter avec pragmatisme.

Notre postulat est de limiter le niveau de l'échange à un maximum de 5% et sur une durée donnée liée à un événement défini dans le pacte d'associés qui fait retomber une partie de cette charge. Pour la valorisation conduisant aux % d'actions échangées, nous avons aussi mis en place une approche transparente en tant que tiers de confiance pour les deux parties. On peut aussi se dire à haute voix qu'il vaut mieux avoir temporairement 97% d'une entreprise qui aura un peu plus de chance de marcher par la suite... du moins c'est notre ambition via le renforcement du capital compétences.

 Ce type d'investissement, dans des sociétés non cotées, présente un risque important de perte partielle ou totale du capital investi ainsi qu'un risque d'illiquidité. L’indicateur lié au taux de succès des startups se situe à date, autour de 50% après 5 ans et de 10% à 10 ans. Notre objectif est à notre mesure bien évidemment, de pouvoir faire évoluer l’indicateur vers les hauts.

Par défaut, dans les chartes signées par l'expert-investiss'heures® et par la start-up, la propriété intellectuelle appartient à 100% à la start-up. L’expert peut ensuite, lors du déroulement de la collaboration, amener ses propres brevets qui seront valorisés suivant un processus classique hors de ceux d’iNGENS Ventures. En fonction du déroulement du projet, il peut s’avérer qu’un cas particulier de nouvelle propriété intellectuelle se pose. Il faudra que les deux parties l’étudient et fassent évoluer le pacte d’associés en conséquence. Ceci sortant du cadre générique voulu par iNGENS Ventures, cette partie ne sera pas traitée par nous mais par les parties, directement avec les autres associés potentiels.

Il n’y a pas de règle, ni d’obligations. En fait, ce qui est important ce sont les compétences de l’expert-investiss'heures®, qui constituent le fondement même de l'association à venir.

L'investissement en personne morale ne pourra se faire que si l'expert a autorité (président), pour engager la société et la majorité du capital de cette même société qui investira ses compétences (plus de 50%, strict minimum). En sachant que le transfert de personne physique à personne morale restera possible par la suite.

L'expert-investiss'heures® participera au comité scientifique uniquement. Ce comité sera défini et mis en place lors du processus d’entrée de l’expert au capital de la start-up. Ce comité se concentre sur les sujets scientifiques au sens large du produit-service en cours de développement. Il sera inopposable au tiers car uniquement interne avec d’autres associés ou salariés de la start-up. Les choix stratégiques seront donc hors scope.

Pour les fondateur(trice)s, il n'y a pas de fiscalité associée à la revente des actions, à l'arrivée de l'expert-investiss'heures® car celle-ci se fait sans plus value vs leur valeur initiale.

Pour l'expert-investiss'heures®, il y a une fiscalité à l'entrée (pour le taux cf cerfa 2759-SD). Il y aura aussi une fiscalité sur les plus-values à la revente des actions. En sachant qu'il y aura des petites différences au niveau fiscalité mais à la marge, si le rachat s'est fait en personne physique ou en personne morale.

Les modalités de sorties possibles avant l'échéance prévue (qui demande, pourquoi, à quel stade, sous quelle échéance etc.) seront précisées dans le pacte d’actionnaires, dont le modèle est compris dans le package d'accompagnement d'iNGENS Ventures, qui inclut notamment : le mécanisme de rachat des actions en fonction de la maturité du projet, la durée d'engagement de l'expert, des levées de fonds effectuées etc.

Sa sortie associée à l'évènement déclencheur décidé ensemble, lors de la signature du pacte d'associés (i.e. en règle générale la levée de fonds seed) sera effectivement inscrite dans le pacte d’actionnaires comme "une possibilité de" avec la forme de sortie. En fonction des statistiques disponibles, la durée médiane de l'association sera autour de 2,5 ans. Toutefois, s’il s’avère que toutes les parties sont d’accord pour que cette collaboration perdure, cela sera possible effectivement. Il vous faudra bien évidemment faire évoluer le pacte d’actionnaire.

Par retour d'expérience, les investisseurs en phase seed ne souhaitent pas forcément garder les actionnaires possédant quelques % et leur demandent donc souvent de sortir lors de ce tour. 

Voici les questions qui nous sont les plus fréquemment posées : vous y trouverez sans doute la ou les vôtres ! 

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